Test – Metro Exodus sur Stadia

Ahhhhh le métro et son ambiance de Russie post apocalyptique…
Perso, j’étais pas un grand fan de la série que j’avais trouvé trop oppressante. Trop enfermée…

J’aurai probablement jamais testé s’il n’était pas tombé gratos pour les joueurs pro ! Et quelle erreur j’aurai fait !
J’ai été complètement accro. Du début à la fin…

L’histoire se passe suite à une terrible guerre ayant amené l’utilisation de nombreuses bombes atomique. L’extérieur est tellement radioactif qu’il en est devenu invivable et rempli de mutants.
La population restant en vie s’est regroupée dans les métros de la ville de moscou. Aucun signal radio extérieur ne parvient aux survivant pour qui le diagnostique est simple : Tout le reste de l’humanité est mort.

On quitte le métro, on y revient…

Le jeu se découpe en chapitre qui sont entrecoupée de moments d’histoires permettant de respirer un peu dans le train qu’on trouve au début du jeu pour quitter Moscou.

Les chapitres sont tous d’une durées comparable et demande de suivre une quête principale qui est complétée de petites quêtes annexes. Attention à ne pas pour autant les écarter d’un revers de main car deux fins sont possibles, et en fonction de vos choix vous en aurez une bonne et une mauvaise.

Dans la même idée (et comme dans tous les Métros), un regard particulier est donné à la mort : les autres humains sont paumés et ne méritent pas de mourir… A vous de taper le moins possible sur eux et de vous infiltrer au max. Bon, ca tombe bien, l’IA est Nulle. Mais alors complètement dans les choux.

Sur Stadia le jeu est beau et fluide. Jamais eu de soucis de latence et les chargements sont rapides.
Il n’y a pas le RTX malheureusement car opti pour les NVIDIA uniquement mais il reste un portage de très haute qualité.

Si vous aimez les fps réclamant de surveiller ses munitions et d’éviter de toujours tirer dans le tas, ce titre est pour vous !
Moi, j’ai ultra kiffé et même si j’ai paumé un gars dans un chapitre, j’ai eu la bonne fin. Pfiou !

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