Test – Assassin’s Creed Odyssey sur Stadia
En bref…
Ce jeu est dans la droite lignée des Assassin’s Creed (même si une guerre oppose les fans à ce sujet) et se passe en Grèce. Il s’agit d’un jeu à la troisième personne ou on contrôle un Mercenaire-Assassin qui va suivre sa quête mère, son odyssée, à laquelle se rattachent nombre de quêtes secondaires plus ou moins importante.
Le jeu de base est déjà très dense et vous tiendra en haleine plusieurs dizaines d’heures, mais en plus, il dispose régulièrement de DLC qui vous assureront toujours plus de contenu.
Gameplay / Direction artistique
Ce jeu fait suite à tellement de prédécesseurs et de savoir faire qu’il est forcément extrêmement léché… Et Zeus, que c’est beau ! les détails, les cartes, les animaux, les PNJ, la météo, tout est de grande qualité.
Et que c’est complet !
Presque trop…
Entre les améliorations du personnage, de son arme, de son aigle, de son navire, associés aux volume de quêtes d’évolution et de loot… Parfois on sais plus par quoi commencer…
Un seul vrai bémol pour moi : La difficulté est étonnamment gérée. Globalement très trop facile, et il sera rarement nécessaire de vous y reprendre à plusieurs fois pour réussir missions et épreuves. A contrario, dans de rares cas, la difficulté semble complètement démesurée (Un sanglier légendaire qu’on arrive pas à occire malgré trois niveau de plus, un mercenaire qui nous course et qui a 4 niveau d’avance…). Cela semble dû à un énorme écart des stats entre deux niveaux.
L’expérience assassin’s Creed sur Stadia
Ce jeu a servi de référence lors du proof of concept qui s’appelait alors “Project stream”. Globalement ca fonctionne bien, et c’est beau. En revanche on dirai plutot du 30 images secondes. Jouer en clavier/souris sur ordi, puis prendre le pad sur la télé c’est quand même ultra classy et agréable !
Chose étonnante, au démarrage on a une longue attente “Vérification de contenu supplémentaire” alors que sur Stadia ca ne devrait pas se passer comme ca.